Subaru Impreza WRX Sti – Le Test

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Le test est basé sur une expérience de 30’000 km avec la Sti 2003 et 30’000 km avec la Sti 2002 sur route.

Ainsi que plus d’un millier de km sur circuits pour ces deux versions.

Ainsi qu’un essai sur route de la version 2004 & 2005

Voir également, le test Neige & Glace


imageBien calé dans les sièges, elle offre un très bon confort.

Le volant bien en main, tournez la clef et c’est parti !


imageLa prise en main est très rapide.

La direction est précise et distille de bonnes indications.

Les versions 03/04 sont bien plus précises que la 2002 qui à tendance à chercher son chemin…

La linéarité de la direction à été optimisée grâce à des valves à phases multiples.


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Avec son excellent moteur 4 cylindres à plat (flat four), 2.0 litres avec intercooler, elle a du répondant.

Bien calé sur ces 4 roues motrices elle ne peut que ravir avec son ronronnement.

Pour bénéficier de toute la cavalerie, Il faudra passer les 4500 tr/min. (Prise du turbo dés 2500 tr/min, couple max à 4000 tr/min, 265 chevaux à 6000 tr/min, zone rouge à partir de 7’000 tr/min).

Un énorme refroidisseur d’air (intercooler) prend place sur le haut du capot moteur.

(Bien plus massif que sur la version 2002)

Une simple pression sur une touche permet de vaporiser de l’eau pour augmenter le refroidissement de l’air avant l’admission.


imageA chaque accélération, vous la sentez rugir de plaisir.

Attention à bien tenir le reine, car la direction à tendance à ce durcir lors de forte accélération.

Vous pouvez régler une limite lumineuse et sonore en fonction du régime moteur directement sur le compte tour.


imageAvec sa boite à 6 rapports, c’est le top.

Tous les rapports s’enchaînement ferment et l’étagement de la boite 6 est optimum.

Certain trouveront peut-être qu’elle tire un poil long sur son dernier rapport.

Le 0 à 100 km/h est abattu en 5,5 secondes !


imageSi vous avez la chance d’avoir une des versions avec le pont central piloté,

vous pourrez réglé le différentiel central en mode manuel de 35:65% à 50:50% (différentiel bloqué) ou en mode automatique.

Il faudra tout de même être très pointu pour en tirer le maximum.

 


imageUne belle ligne d’échappement made in Sti, avec le magnifique son du flat four,

quel plaisir de l’entendre ronronner…


imageDisposant d’un très bon châssis, et d’une excellente chaîne cinématique, ce modèle reste une référence dans les 4 roues motrices.

Transmissions permanente 50:50% (sauf pour les versions avec pont piloté).

La tendance ou sous-virage est bien atténuée en comparaison de la version 2002.


imageLes amortisseurs sont bien ferme et ils offrent un très bon compromis route et circuit.

(La version 2002 à des amortisseurs plus dure).

Les épures de suspensions (bras transversaux à l’avant et essieu multiples à l’arrière) en alliage léger ont permis d’atténuer les masses non suspendues.

La rigidité de la suspension à été renforcée au niveau des barres antirapprochement et par la consolidation des supports de tringlerie transversale ce qui améliore la réponse au volant.


imageLes excellents freins Brembo ne déçoivent que par le manque de mordant et par cette pédale de frein qui manque de répondant.

(Sur la version 2003 le phénomène a été nettement amélioré ainsi que sur la version 2004).


imageLa tenue de route est impeccable.

Elle est chaussée de pneus Potenza 225/45 17 ».

La version (Peter Solberg avec pont piloté) est chaussé de Potenza RE 070 asymétrique avec un épaulement renforcé.